vendredi 18 juillet 2008

l'espoir des nations - textes du jour

Samedi 19 Juillet 2008

Prier… [1] L’impie se glorifie du désir de son âme . . . plein de suffisance, l’impie ne cherche plus : ‘Dieu n’est rien’, voilà toute sa ruse. On ne peut faire croquis plus fin et acéré de certains comportements contemporains, et de toute attitude individuelle ou collective de refus de l’humanité ou de la foi. Ceux qui ne croit à la transcendance que parce qu’elle est le point faible de notre époque et d’autrui… Mais toi tu as vu : tu regardes le mal et la souffrance. Toute la phraséologie de notre temps sur le primat du ressort religieux dans les identités populaires, dans l’essence du terrorisme, dans l’arbitrage moral des relations internationales, pour que se réalise la formule d’André Malraux n’a de vérité que pratique, et fait tourner en rond, le rond de la sociologie, d’une description mais pas d’une ouverture de voie. L’ouverture, c’est l’existence et le comportement, le dessein de Dieu face à l’impie et au catastrophiste. Il n’écrasera pas la mèche qui faiblit… les nations mettent leur espoir en son nom. Sans doute, nos textes font cette peinture du mal et du malfaisant, de ceux qui, du fond de leur lit, méditent le crime, élaborent le mal, mais je préfère, puisque c’est l’aube et que commence la travesrée de cette journée, regarder et écouter qui parle. Ainsi parle le Seigneur : Moi, je médite contre cette engeance un malheur où ils enfonceront jsqu’au cou… de fait, nous fûmes chassés du paradis après que Dieu nous y eût cherché pour poursuivre la conversation de la veille, le soir du péché, de notre péché. Les pharisiens se réunirent contre Jésus pour voir comment le faire périr. Jésus, l’ayant appris, quitta cet endroit ; beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous. Et, en nous, la voix de la prière, de la foi et, au bout du compte, celle du bonheur : voici mon serviteur que j’ai choisi, monbien-aimé en qui j’ai mis toute ma joie. Quand Dieu nous est présenté, divinement. C’est divinement que nous est donnée l’humanité de Dieu.

[1] - Michée II 1 à 5 ; psaume C ; évangile selon saint Matthieu XII 14 à 21

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