lundi 21 février 2011

ceux qui aiment Dieu, en ont été comblés - textes du jour

Prier… [1] l’étude des guérisons oar Jésus, circonstances, faits, résultats. Point de vue médical… compte-rendu spirituel… ce qui se voit, ce qui s’entend… avec ce tiers, si présent dans les évangiles (données de l’époque sur la médecine, culture de l’époque sur le malheur, l’épreuve, la maladie), les démons, le démon, l’esprit mauvais… Le suppliant passe par des intermédiaires, mais en vain : j’ai demandé à tes disciples d’expulser cet esprit, mais ils n’ont pas réussi. Le Christ s’emporte, puis : ‘Amenez-le auprès de moi !’ On l’amena auprès de lui… ‘Si tu y peux quelque chose, viens à notre secours, par pitié pour nous !’. On est loin de la profession de foi, le contexte est mauvais, c’est la suite de la Transfiguration : Jésus, Pierre, Jacques et Jean, en rejoignant les autres disciples, virent une grande foule qui les entourait, et des scribes qui discutaient avec eux. Moïse sur la montagne, et le veau d’or en bas, la machine aux guérisons s’est enrayée ou ne marche pas par procuration : Génération incroyante, combien de temps devrai-je rester auprès de vous ? Combien de temps devrai-je vous supporter ? … Pourquoi dire : ‘Si tu peux’ ? Tout est possible en faveur de celui qui croit. Pas en Dieu en tant que tel, pas en Jésus en face de qui se trouve le père du petit « possédé ». Croire, simplement. Une faculté humaine ? Le cri du père : d’abord, automatique, remplir la condition posée, puis ensuite, profonde, vraie et décisive. Vécue. Nous. Je crois ! viens au secours de mon incroyance ! Deux conclusions, Jésus, voyant que la foule s’attroupait, veut faire vite et discrètement. Leçon aux disciples : rien ne peut faire sortir un tel esprit de cette espèce-là, sauf la prière. Je ne prie pas, je ne crois pas, j’en suis où j’en suis, et pourtant je suis secouru, je vis et tente de prier. Ceux qui aiment Dieu en ont été comblés.

[1] - Ben Sirac I 1 à 10 ; psaume XCIII ; évangile selon saint Marc IX 14 à 29

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