vendredi 16 novembre 2012

je m'adresse à toi, l'Eglise - textes du jour

Vendredi 16 Novembre 2012

                     Prier… sur le ton de son Apocalypse, Jean s’adresse à l’Eglise [1]: Je m’adresse à toi l’Eglise, reine choisie par Dieu… Je te le demande, aimons-nous les uns les autres. Et l’amour, c’est que nous vivions selon ses commandements, et ce commandement, comme vous l’avez appris dès le début, c’est que vous viviez dans l’amour. Donc, ni la haine, le combat, le mépris des autres à raison de leur place dans la société, de leur idélogie ou de leur religion, de leurs papiers d’identité ou du défaut de ceux-ci… prenez garde à vous-mêmes, pour ne pas perdre le fruit de votre travail, mais recevoir intégralement votre salaire. ‘amur utueln véritable reconstruction osyhologique, entretien constant par vigilance… là encore la ré-évangélisation. La manifestation d’après-demain, en coincidence d’ailleurs avec le choix par les militants U.M.P. de leur chef (par intérim si Nicolas SARKOZY sentait pouvoir être réélu…), est-ce un témoignage ? et de quoi ? Mais à mon tour, ne pas tomber dans le travers. Comprendre, chercher à comprendre… Dans mon cœur, je conserve tes promesses pour ne pas faillir envers toi. Le critère de tout, le reationnement au Christ, la foi en Jésus Christ venu dans la chair.  … Qui cherchera à conserver sa vie la perdra. L’inversion de nos réflexes. Jésus le suggère, le demande, dans notre intérêt vital à chacun, par des rappels qui étaient de culture familière pour ses contemporains, ses frères de race et d’histoire. Le déluge arrivera qui les a fait tous mourir… rappelez-vous la femme de Loth… Mais des affirmations, des prophéties terribles, la séparation plus encore que la soudaineté du destin. Cette nuit-là, deux femems seront dans le même lit : l’une sera prise, l’autre laissée. Deux femmes seront ensemble en train de moudre du grain : l’une sera prise, l’autre laissée. – Où donc, Seigneur ? – Là où il y a un corps, là aussi se rassembleront les vautours. Ces semaines-ci, une définition, dont je ne mémorise pas l’auteur, à la radio France-Infos. : un mystère, ce n’est pas ce que l’on ne peut comprendre ou ne comprend, c’est ce que l’on n’a jamais fini de comprendre. En cela, le mystère est la plus aisée et immédites des approches de Dieu. Ils le cherchent de tout cœur ! de tout mon cour, je te cherche. … Ouvre mes yeux, que je contemple les merveilles de ta loi.


[1] - 2ème lettre de Jean I 4 à 9 ; psaume CXVIII ; évangile selon saint Luc XVII 26 à 37

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