Diminution de plus en plus sensible, évidente de mes forces. Scanaale ou désespérance devant l’évolution imposée à notre pays : noté par des agences ou par une fonction publique multinationale même plus aux résultats mais aux seuls efforts pourvu qu’ils correspondent au manuel en vigueur (mondialisme et libéralisme), un des premiers personnages allemands bavant sur la France devenue le problème de la zone euro (je préférais BRANDT bavant sur de GAULLE, vieillard empêchant les choses de tourner en rond et soutenant ensuite ne l’avoir jamais dit), un gouvernement qui a l’inexpérience de donner des projections chiffrées, de les maintenir jusqu’à l’instant du démenti du ministre des Finances par le ministre des Affaires Etrangères, un ministre désavaoué par le Premier ministre et le président de la République (Florange) qui s’en sont chacun laissés imposer psychiquement et physiquement par un grossier et cynique parvenu au lieu de lui lâcher les syndicats aux mollets à fond avec la nationalisation au-dessus de la tête, et qui ne démissionne pas, un ministre des Finances démenti par ses collègues avec une INSEE jugée moins fiable qu’eurostat, et qui ne démissionne pas, une démocratie où la décision n’est que quinquennale et la consultation inexistante, le referendum constamment refusé sur tous les sujets, etc… etc… tandis qu’aucune des questions vraies ne sont traitées, que nous sommes la risée du monde, nous les Européens… je suis hanté aussi par la silhouette, que sans doute je caricature et exagère, de cette chrétienne d’étiquette dont la vie de piété se structure par la révérence envers le clergé caution de tout sinon de la sainteté, la confession hebdomadaire sinon plus, les indulgences plénières selon signature de l’évêque, les défunts aux souffrances abrégées par nos dévotions ou par cette apathie à la renonciation d’un pape : cela le regarde et quoi qu’il fasse, il a raison, quant à la suite qu’y pouvons-nous, ignorance de l’animatrice de table croyant les épîtres enkystées dans les Actes dezs apôtres et l’édition qu’elle a sous la main amputée du Nouveau testament… notre exercice Alpha où je vais surtout pour la rencontre des gens et voir ce que nous sommes encore capables de proposer et de débattre (cf. ma première apparition il y a quinze ans à la section socialiste locale dont j’attendais à terme avec coup de pouce rue de Solférino une investiture pour la députation, et qui débattait de la suppression de l’article 16 de la Constitution)… expérience renouvelée que la communication et la communion se vivent avec les authenticités de vie souffrantes et sans réponses…et ‘évidence vécue que ce sont les vivants qui ont besoin des morts et non l’inverse… Silhouettes de quelques-uns de nos chiens courant à travers les hautes herbes. – Mémoire de mon père, broyé par la société et par sa sincérité, sa bonne volonté premièrs…
Prier dans cette commune petitesse qui m’unit à mon époque. La beauté de l’espérance est quelque part, sûrement, vraiment… ces commandements et ces décrets, tu les garderas et observeras de tout ton cœur et de toute ton âme. Par là, Dieu pourvoit à notre cécité et nous dir sa sollicitude, le chemin et ses balises [1]. Aujourd’hui, tu as obtenu du Seigneur cette déclaration : qu’il sera ton Dieu, et que tu suivras ses chemins, que tu garderas ses commandements… aujourd’hui, le Seigneur a obtenu de toi cette déclaration : que tu seras son peuple particulier, comme il te l’a promis… tu seras un peuple consacré au Seigneur ton Dieu, comme il te l’a promis. uSans doute, à la clé les bienfaits, prestige, renommée et gloire, polus qu’à toutes autres nations…Je n’ai jamais été échangiste avec qui que ce soit et Dieu est si incommenusrable que l’acheter par des sacrifices et des dévotions, non ! en revanche, si en conscience, sacrifices et dévotions me sont inspirés et suggérés, ou si me fondre dans la foule pieuse qui pose les lèvres au pilier soutenant une statue vénérée de la Vierge à Chartres, me met simplement dans l’humilité et le partage de foi respectueux des modalités, habitudes et possibilités d’autruii, évidemment… je le fais. Je suis sans ambition mais lisant : vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait, je ressens avec force et émotion l’ambition que Dieu et son Christ ont pour nous, au point que le Fils se soit incarné. D’une certaine manière pour nous donner prise, d’une certaine manière pour nous connaître dans la mort et humainement se donner à Lui-même le genre de certificat que le Créateur au soir de chacun des jours de son œuvre de cération se décernait : Dieu vit que cela était bon.. Oui, puissent mes voies s’affermir à oberver tes commandements. Car dans ce brouillard, cet affaiblissement, cette sorte de crépuscule général, il y a l’exigence de vie de celles qui me sont confiées, le réflexe constant de notre fille et cette sensation si forte – autant que la dépression que je subis – d’être au seuil… au seuil d’une totalité et d’un accomplissement de toute ma vie, remise en complète marche. Exaucé et mené. Validé et multiplié.
La multiplication des crimes par mépris de la vie – le périphérique et ses trois morts en service commandé
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire