Prier… [1] variations, ajouts et omissions les uns par rapport aux autres, les évangiles tant de la Résurrection – en fait de ce que les témoins reçurent à la suite de la Résrrection, le moment et la manière de celle-ci resteront à jamais inconnus humainement – que de la Passion sont tellement divers. Les saintes femmes, les Juifs, les gardes. Les premières, elles quittèrent le tombeau, tremblantes et toutes joyeuses, et elles coururent porter la nouvelle aux disciples. Déjà gratifiées d’un point de la situation par un ange, les voici instruites de Jésus lui-même. Le noli me tangere propre à Marie-Madeleine est ici collectif : elles s’approchèrent et, lui saisissant les pieds, elles se proternèrent devant lui. Lavement des pieds : Jésus et ses disciples, les pieds embaumés par Marie-Madeleine et essuyés après qu’elle les ait mouillés de ses larmes.Mais le rendez-vous en Galilé,e le pays natal, ne varie pas. Pourtant, le Christ va apparaître à ses disciples couramment là où ils se trouvent et d’abord à Jérusalem. Comme si le rendez-vous galiléen comptait seul : envoi en mission et départ, séparation e début d’une tout autre forme de relation avec Lui. Entretemps les apparitions ne sont que pour le témoignage de sa Résurrection. Les gardes n’ont de réflexe que le comptre-rendu, pas du tout la foi. Qu ’ont-ils d’ailleurs vi, eux-mêmes, et réalisé ? les textes ne le laissent pas entendre, au contraire de l’imagerie populaire. Consigne : voilà ce que vous raconterez : « ses disciples sont venus voler le corps, la nuit pendant que nous dormions ». Et si tout cela vient aux oreilels du gouverneur, nous lui expliquerons la chose, et nous vous éviterons tout ennui. Récit à la Goscinny… les gardes romains sont donc venus rendre compte non à Pilate mais à la hiérarchie du peuple occupée ; la thèse les incrimine pourtant davantage, défaut de vigilance, ils avaient été postés poour garder et non dormir. Sommeil des disciples pendant l’agonie au jardin des Oliviers, sommeil des factionnaires pendant la résurrection, dans un autre jardin. Disciples et païens passent à côté. Je regardais le Seigneur sans relâche, s’il est à mon côté, je ne tombe pas… ma chair elle-même reposera dans l’espérance, tu ne peux pas m’abandonner à la mort ni laisser ton fidèle connaître la corruption. Tu m’as montré le chemin de la vie, tu me repmpliras d’allégresse par ta présence. C’est le psalmiste que commente Pierre à la Pentecôte et c’est du fait que témoignent les Apôtres : ce Jésus, Dieu l’a ressuscité ; nous tous, nous en sommes témoins. C’est en cela que le Christ nous montre, nous ouvre le chemin, parce qu’il est ressuscité et le chemin, c’eest la mort et la résurrection, les nôtres, avec Lui, après Lui. Cet homme, livré selon les plans et la volonté de Dieu, vous l’avez fait mourir en le faisant clouer à la croix par la main des païens. Or, Dieu l’a ressuscité en mettant fin aux douleurs de la mrt, car il n’était pas possible qu’elle le retienne en son pouvoir. Nous sommes créés pour la vie, pas pour la mort, pour le bonheur pas pour l’échec, la désespérance, le malheur. Je n’ai pas d’autre bonbeur que toi. Tu m’apprends le chemin de la vie.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire