dimanche 17 novembre 2013

il apportera la guérison dans son rayonnement - textes du jour

Dimanche 17 Novembre 2013



Prier… [1] l’évangile pour aujourd’hui, médité à cinq avec MLP, double lecture à haute voix puis de nouveau des yeux. L’attention de Jésus à ses discipleset à leurs mouvements tandis que ceux-ci ne savent pas Le suivre dans ce qu’Il leur dit. Leur question sur la destruction du Temple est «  à côté », la question du moments ou la question de fait. La prophétie d’un futur si accidenté de l‘universel au particulier, du cosmique au quotidien, du naturel à l’humain mais également bouleversés, et l’incertitude sur l’ensemble : ce ne sera pas tout de suit la fin. Exceptionnellement, le Christ se « substituant » à l’Esprit Saint (qu’Il présente cependant comme mon Esprit dans d’aurres passages) : moi-même, je vous inspirerai un lnagage et une sagesse. … Paradoxe, oersévérer dans un attitude qui provoque la persécution, alors que l’on est menacé de mort. C’est par votre persévérance que vous obtiendrez la vie. Enfin, les comportements du collectif à une foule plus précisée, le nôtre, celui de Dieu. Echo de ce feu et de cette division, y compris dans les familles, qu’apporte le Christ. Les apocalypses de l’Ancien Testament ont également leur centre, mais plus mystérieux : voici que vient le jour du Seigneur, brûlant comme une fournaise… mais pour vous qui craignez mon Nom, le Soleil de justice se lèvera : il apportera la guérision dans son rayonnement. Ce qui est également prophétiser le Rédempteur, le Christ Lui-même, et opérer un lien entre le cataclysme et le salut. Il s’agit bien de chaleur, de rayonnement mais leur sens, l’effet changent. Des apocalypses du Nouveau Testament, Jésus est le centre : beaucoup viendront sous mon nom en disant « C’est moi »… Moi-même, je vous inspirerai… J’en ai retenu une disponibilité à autre chose que les événements. Pédagogie du Christ. L’exhortation paulinienne : le pain mérité par le travail. Argument pour l’état de vie des prêtres aujourd’hui, l salariat à raison d’une profession qui ne peut être l’évangélisation, laquelle est d’un autre ordre, et d’une certaine manière « impayable». L’Apôtre dit cependant : bien sûr, nous en aurions le droit. Le travail est donc son mouvement propre et une manière de plus d’édifier ceux qu’il convertit et entretient, instruit dans leur foi. Ceux qui lui doivent, lui devront leur persévérance.  


[1] - Malachie III 19.20 ; psaume XCVIII ; 2ème lettre de Paul aux Thessaloniciens III 7 à 12 ; évangile selon  saint Luc XXI 5 à 19
 

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