mercredi 3 septembre 2014

vous êtes encore des êtres de chair - textes du jour

Mercredi 3 Septembre 2014 Anniversaire de naissance de Maman, une femme accomplie, bonheur et détresse. A y réfléchir, il semble que son bonheur ait été strictement voulu et qu’elle l’a obtenu par l’amour très cultivé, celui de son mari, mon père, celui de ses enfants, mes sœurs et frères qu’elle voulut nombreux, et que les revers et soucis lui sont précisément survenus par ceux qu’elle aimait, à commencer par Papa, souvent par moi. A chacun des miens de le vivre, le commpendre, le savoir selon une relation intime que chacun de nous a eue… ou manquée… je ne sais vraiment. Vie de certitudes, puis d’anxiété, et enfin de confiance, même d’indépendance. Aussi spontanée que construite. – Les parents dans la construcion de l’enfant, la veille et l’encadrement ? ou l’exemple ? ou l’ambiance ? Ou l’atrocité : « punir » un bébé de quatre mois en le battant à mort… Protéger l’enfant de nous-mêmes… mais non de la vie et des autres. Dialogue hier soir avec notre fille d’abord en larmes dans son appréhension déjà des séparations que va lui infliger son passage au collège et donc ailleurs que dans les lieux de ses sept ans d’enfance scolaire en primaire, puiis s’endormant dans le sourire et me disant la joie rétrospective et le bien-être que lui a donnés notre dialogue. Je lui ai dit que je vis ces moments dans l’anticipation de ceux que nous aurons à ses vingt ans, trente ans…notre relation sans âge, fondée et vécue seulement selon l’amour que je lui porte. Chaque jour m’en donne, nous en donne à ma chère femem et à moi, preuves et certitudes. Bonheur et aise de ces instants chaque soir ou en conduite et retoru d’école. – L’école des rêves de notre fille répondant au questionnaire de sa maîtresse hier matin: c’est que qu’on ait toujours des bonnes notes que tout le monde soient égaux, que la récréation dure une heure et demi, que l’on ait des malabars à volonté, et que dans chaque classe il y ait un écran plasma, qu’enfin chaque élève ait une tablette. Le garçonnet charmant que nous doublions hier après-midi à la sortie de classe, main à la poussette de sa petite sœur, sa mère encadrée de lui et du frère cadet : celui-là même qui a poussé N. en cours de récréation, il y a trois ans au point que celui-ci a été six heures dans le coma, apprentissage de la vie selon les enseignants et bien des parents d’alors ! l’enfant traité de nain et même de nains de jardin par de ses camarades, garçons, jamais par les filles, beau et intelligent, effectivement handicapé héréditairement mais premier à la course à pied, malgré sa difformité…. Etres de chair. Prier d’action de grâces et de demande, tant les étreintes sont fortes du temps de notre présent… y compris celles pratiques des contraintes soi-disant techniques – de la vente forcée très organisée – que je subis en informatique. Prier… dérobade de mes amis et frères moines de K… le sécessionniste d’il y a un an déjà qui ne s’explique pas, son abbé qui n’a pas le temps de s’en entretenir avec moi et ceux de ses frères en vœux et communautés qui y seraient disposés sont rappelés à l’ordre du silence monastique. Esprit Saint ou gestion des ressources humaines ? défectueuse. Vous êtes encore des êtres de chair. Puisqu’il y a entre vous des jalousies et des disputes, n’êtes-vous pas toujours des êtres de chair, et n’avez-vous pas une conduite tout humaine ? Expérience encore d’hier soir, sylviculture, le plan que je n’ai pas suivi par négligence, ignorance et manque de fonds, des « éclaircissements » périodiques des lignes d’arbres pour sélectionner le meilleur et lui donner un espace propre, ainsi les fûtaies, ainsi le bois d’exploitation. Les ronces et les simples jaillissements et poussées, le petit étang à l’air libre maintenant sous bois de saules et autres, mon araucaria en voie d’étranglement. Réagir… réagir… sereinement. Il me semble vivre en ma vie personnelle toute physique avec le compte-à-rebors de ma mort de chair, ce que vit notre époque avec ces apparitions d’Etats nouveaux, un Kurdistan magnifique de persvéréance historioque, mentale et ethnique, si proche de nous et un soi-disant Etat islamique nous ramenant aux atrocités des XIème et XIIIème siècles, avec la même faiblesse et les mêmes lacunes aujourd’hui qu’autrefois.. La peur « occidentale » de l’étreinte physique mais l’erreur des « barbares » de croire les démocraties incapables de séieux, un jour, enfin… le précédent de 1944-1945 ou – ce que je préfère – l’arme absolue du vouloir torrentiel d’un peuple se libérant – les Allemands de l’Est – avec la grâce providentielle que ‘ladversaire ne soit plus tortionnaire, ce que Gorbatchev paya personnellement de sa carrière et ce que Poutine, au revers cynique de toute morale cherche à exploiter. Cynisme qui, miraculeusement ? va davantage monter les Français contre l’exercice actuel du pouvoir abusant de leur tolérance et de leur inertie, que l’absence de résultats. Les propos méprisants, dits « de droite », du ministre du Travail et du ministre de l’Intérieur, hier. La belle-mère de Simon, était oppressée par une forte fièvre, et on implora Jésus en sa faveur. Il se pencha sur elle, interpella vivement la fièvre, et celle-ci quitta le malade. Texte apparemment si simple, mais rapportant ue réalité prodigieuse. Le mal, la souffrance, nis diminutions, la chair-même, dans sa forme actuelle, sont exogènes. Et cet exogène s’interpelle, se chasse. Seul Dieu, en notre état d’existence actuel, peut s’y prendre ainsi et nous guérir, nous auver, anticipant notre mûe, l’âge et la forme adultes et accomplies de notre existence : éternité et perfection. Perfection de la chair et de toutes nos dimensions transformées, y compris celles du temps. Jésus, Dieu fait homme, après avoir prié et et enseigné selon son époque, dans la synagogue de Capharanaüm, va y passer la journée, imposant les mains à chacun d’eux, il les guérissait. Action et parole interpellant, discutant le mal, le vainquant et le mal Le qualifiant, faute de se reconnaître comme tel : le mal en version multiple : Tu es le Fils de Dieu… Ils savaient, eux, qu’il était le messie. Mission qui n’est cependant pas d’un thaumaturge, mais d’annonce d’un salut global et universel : annoncer la Bonne Nouvelle du règne de Dieu, car c’est pour cela que j‘ai été envoyé. Emploi de Son temps et de l’humanité de Sa vie propre… quand il fit jour, il sortit et se rendit dans un endroit désert. Les foules le cherchaient… L’attente humaine, le soin divin… Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel, donne-nous aujourd’hui notre pain de ce soir… gardez-nous toujours auprès de vous (addition de notre Marguerite)… ne nous laissez pas entrer en tentatiion, ne nous abandonnez jamais, ô notre Siegneur, Père et Dieu et délivrez-nous du mal, Amen !

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