Prier… avant cette route et pour une vie ardente mais accompagnée.
Mon impuissance me donne la certitude de n’avoir qu’un seul recours et ce m’est une joie.
Pour accomplir ma mission d’époux, de père de famille,
et aussi ce que je crois nécessaire au bien commun de notre pays. Cette catéchèse magnifique de l’école de Jérusalem : rends joyeux le visage de ton âme. Puisses-tu avoir le visage dévoilé, grâce à une conscience pure, refléter la gloire du Seigneur,
et marcher de gloire en gloire, dans le Christ Jésus notre Seigneur.
Cette notation décisive pour le socle de notre foi, reçue des Apôtres : les chefs du peuple, les Anciens et les scribes constataient l’assurance de Pierre et de Jean et,
se rendant compte que c’était des hommes sans culture et de simples particuliers,
ils étaient surpris ;
d’autre part, ils reconnaissaient en eux ceux qui étaient avec Jésus [1]
Le déclic… comment en venir à ce que pratique cette Eglise de Jérusalem ?
Puisses-tu avoir le visage dévoilé, grâce à une conscience pure, refléter la gloire du Seigneur,
et marcher de gloire en gloire, dans le Christ Jésus notre Seigneur.
Et chanter alors ce que je constate en moi ? ma force et mon chant c’est le Seigneur. Il est pour moi le salut.
Mauvaise question :
nous sommes « agis » par Dieu dès que nous Lui demandons de prendre
le relais de nos infirmités, de notre faiblesse.
Les Apôtres constatent cette force en eux :
il nous est impossible de nous taire sur ce que nous avons et entendu.
Nous-mêmes incapables, les Apôtres aussi avant la Pentecôte : ils refusèrent de croire…
l’annoncer aux autres, qui ne les crurent pas non plus…
Il leur reprocha leur manque de foi et la dureté de leur cœur.
Même mon manque de foi, ce manque de foi générale est une force :
elle nous met aux genoux du Seigneur, à Ses pieds.
Amen.
[1]
- Actes des Apôtres IV 13 à 21 ; psaume CXVIII ;
évangile selon
saint Marc XVI 9 à 15
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