mardi 27 septembre 2016

saint Vincent de Paul . 1581 + 1660


prêtre, fondateur d'Ordres

Ce saint, dont le nom est devenu synonyme de charité, est l'une des plus pures gloires de la France et de l'humanité tout entière.
Vincent naît à Pouy, près de Dax (France), le 24 avril 1581. Ses parents faisaient valoir une petite ferme et vivaient du travail de leurs mains. Les premières années de Vincent se passèrent à la garde des troupeaux. Un jour qu'il avait ramassé jusqu'à trente sous, somme considérable pour lui, il la donna au malheureux qui lui parut le plus délaissé. Quand ses parents l'envoyaient au moulin, s'il rencontrait des pauvres sur sa route, il ouvrait le sac de farine et leur en donnait à discrétion.

Son père, témoin de sa charité et devinant sa rare intelligence, résolut de s'imposer les plus durs sacrifices pour le faire étudier et le pousser au sacerdoce : « Il sera bon prêtre, disait-il, car il a le cœur tendre. » À vingt ans, il étudie la théologie à Toulouse et reçoit bientôt le grade de docteur.
Ordonné en 1600, à l’âge de 19 ans, un an après son ordination il se rend à Marseille pour recueillir un legs que lui a laissé un de ses amis. Au retour, voyageant par mer pour se rendre à Narbonne, il est pris par des pirates et emmené captif en Afrique. Sa captivité, d'abord très dure et accompagnée de fortes épreuves pour sa foi, se termina par la conversion de son maître, qui lui rendit la liberté.
Les circonstances le font nommer aumônier général des galères, et il se dévoue au salut de ces malheureux criminels avec une charité couronnée des plus grands succès. La Providence semble le conduire partout où il y a des plaies de l'humanité à guérir.
À une époque où la famine et les misères de toutes sortes exercent les plus affreux ravages, il fait des prodiges de dévouement; des sommes incalculables passent par ses mains dans le sein des pauvres, il sauve à lui seul des villes et des provinces entières. Ne pouvant se multiplier, il fonde, en divers lieux, des Confréries de Dames de la Charité, puis l'ordre des Filles de la Charité (1623), plus connues sous le nom des Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul. Nulle misère ne le laisse insensible ; il trouve le moyen de ramasser lui-même et de protéger partout des multitudes d'enfants exposés à l'abandon et à la mort, et mérite le nom de Père des enfants trouvés.
Il a formé des légions d'anges de charité ; mais il lui faut des légions d'apôtres, et il fonde les Prêtres de la Mission (1625), destinés à évangéliser la France et même les peuples infidèles.
En 1638 débute l'œuvre des « Enfants Trouvés ». Il créa pour cela un établissement pour les enfants trouvés.
Son action ne s'arrêtait jamais. Il envoyait ses missionnaires dans tout le royaume et à l'étranger:
- 1639 voit Vincent organisé les secours en Lorraine (ravagée par la guerre, la peste et la famine).
- 1646 Fondation de la mission d'Alger.
- 1648 Fondation de la mission de Madagascar.
- 1649 Démarche de Saint Vincent auprès de la Reine et Mazarin en faveur de la paix.
- 1651 Vincent organise des secours en Picardie, Champagne et Ile-de France, dévastées par la guerre. C'est l'année de la Fondation de la mission de Pologne.
Accablé d'infirmités et de souffrances à la fin de sa vie, il meurt à Saint-Lazare le 27 septembre 1660. Louise de Marillac était décédée peu de temps avant lui le 15 mars 1660. On lui fit des funérailles exceptionnelles. Toutes les œuvres qu'il avait créées étaient représentées, Les princes se mêlaient aux pauvres dans la foule venue honorer le bienfaiteur que l'on vénéra comme un saint.
Il fut béatifié par Benoît XIII (Pietro Francesco Orsini, 1724-1730) le 12 août 1729 et canonisé par Clément XII (Lorenzo Corsini, 1730-1740) le 16 juin 1737. Actuellement son corps est exposé dans la Chapelle des Lazaristes, 95, rue de Sèvres, à Paris-VIe.
Pour un approfondissement :
 >>> œuvres et biographies
   


Source principale : viechretienne.catholique.org ; wikipédia.org (« Rév. x gpm »).












wikipédia – à jour au 25 septembre 2016

Vincent de Paul

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Vincent de Paul
Image illustrative de l'article Vincent de Paul
Portrait de saint Vincent de Paul
Naissance
Décès
27 septembre 1660  (79 ans)
Paris, prieuré de Saint-Lazare, Royaume de France Royaume de France
Nationalité
Ordre religieux
Vénéré à
Fête
Saint patron
Œuvres charitables
Vincent de Paul ou Vincent Depaul1,2, né au village de Pouy3 près de Dax le 24 avril 15814 ou 1576 5,6 - mort le 27 septembre 1660, est une figure du renouveau spirituel et apostolique du XVIIe siècle français, prêtre, fondateur de congrégations qui œuvra tout au long de sa vie pour soulager la misère matérielle et morale. Il a été canonisé en 1737.

Sommaire

Biographie

Les incertitudes de sa naissance

Vincent de Paul serait né le 24 avril 1581, à la ferme de Ranquines près du village du Pouy7.
Ranquines, maison natale de Vincent de Paul
Vincent de Paul est né dans une petite maison à la périphérie du village de Pouy (qui, depuis le XIXe siècle, est appelé « Saint-Vincent-de-Paul » en son honneur), situé à environ cinq kilomètres de la ville de Dax dans le département des Landes, dans le sud-ouest de la France. Le lieu de sa naissance, connu aujourd'hui sous le nom de « Berceau de saint Vincent de Paul », propose un modeste bâtiment de briques et de poutres de bois d'allure maison landaise, très proche de la maison où Vincent serait né en avril 1581. Il n'existe aucun enregistrement de sa naissance, les registres de catholicité aussi anciens ayant disparu7.
Dans sa biographie le père José-Maria Roman ne doute pas de l'origine landaise et française de saint Vincent de Paul. [J-M Roman Saint Vincent de Paul, Biographie éd. Alzani] Le saint lui-même parlait de son origine gasconne. Un autre lazariste le père Bernard Koch après des recherches dans les différentes archives françaises s'est rendu compte que le nom des Depaul ou Paul était courant dans toute la moitié sud, dans le pays de langue d'Oc. Les différents biographes (Abelly, Collet, Maynard, etc.) parlent d'un parent de Vincent de Paul qui était prieur de Poymartet pas très loin de Notre-Dame de Buglose (sanctuaire marial landais fondé en 1620 sur la commune actuelle de Saint Vincent de Paul). D'après un document de 1577, Étienne Depaul était en possession d'un prieuré sur le chemin de Saint-Jacques, en fort mauvais état à cause des guerres de religion. Mais cette parenté a été récemment contestée 8.

Une enfance pieuse et laborieuse

Il est le troisième d’une fratrie qui comprend quatre garçons et deux filles. Son père Jean de Paul est un petit exploitant agricole, sa mère Bertrande de Moras appartenait en revanche à une famille de la petite noblesse locale.
Vincent est amené très tôt à apporter son aide à ses parents qui peinent à nourrir une famille nombreuse. Aussi passe-t-il ses premières années comme berger à garder des moutons, des vaches et des cochons. Il doit quitter toutefois son foyer familial pour Dax où son père l’inscrit au collège des Cordeliers, tenu par les franciscains. Son père espère ainsi le préparer à obtenir quelques « bons bénéfices » grâce auxquels il pourra compléter les revenus familiaux.
Vincent y resta trois ans et y suivit avec succès des cours de grammaire et y apprit le latin. Il était, pour ses camarades un exemple de travail acharné, si bien qu’au bout de peu de temps, Monsieur Comet, un ami de famille, lui demanda de devenir le précepteur de ses fils. Il prit le goût de l’apostolat et le désir de devenir prêtre grandit en lui. À 16 ans, lors d’une cérémonie où l’Évêque coupe quelques cheveux aux futurs prêtres, Vincent reçut la tonsure. Cela signifiait qu’il entrait dans le clergé et que désormais il devait porter l'habit ecclésiastique.

La prêtrise

En 1597, il rejoint l'université de Toulouse où le jeune apprenti bachelier étudia la théologie pendant sept ans9.
En 1598, il reçoit le sous-diaconat puis, deux mois plus tard, le diaconat en la cathédrale Notre-Dame de la Sède à Tarbes, en Bigorre (aujourd'hui, département des Hautes-Pyrénées), par l'évêque de cette ville dans laquelle il séjourna quelque temps. Le 23 septembre 1600, il est ordonné prêtre à Château-l'Évêque ( Dordogne) par l'évêque de Périgueux dans la chapelle du château épiscopal, bien qu'il ne soit pas prêt à exercer ce ministère, étant au début plus en quête des avantages de cette condition sacerdotale. Il est nommé par le Vicaire Général de Dax curé de la paroisse de Tilh mais ne semble pas y être allé10.

L'expérience de la captivité

Selon ses dires, capturé en 1605 au large d'Aigues Mortes, par des Barbaresques sur la voie du retour d'un voyage pour Marseille où il se rendait pour recueillir un modeste héritage, il aurait été vendu comme esclave à plusieurs maîtres successifs (notamment à un alchimiste pour lequel il marquera un intérêt profond11) dont le dernier, un renégat originaire de Nice « vivant à la musulmane » qu'il aurait convaincu de se repentir et se sauver avec lui. Après deux années d'esclavage, il se serait évadé de Tunis avec ce dernier maître et ses trois femmes, les emmenant à Rome pour qu'ils se fassent pardonner par le pape. L'authenticité de cet événement, pour célèbre qu'il fut12, est débattue par les historiens13,14.

Aumônier, curé, confesseur

L'église Saint-Vincent-de-Paul à
L'église Saint-Vincent-de-Paul à Clichy.
Grâce aux recommandations du Saint-siège, il devient en 1610 aumônier de Marguerite de France, qui consacre alors un tiers de ses revenus à des œuvres de charité, notamment à la Confrérie des frères de Saint-Jean-de-Dieu connus sous le nom de « Frères de la Charité » et dont il s'inspirera pour créer les « Filles de la Charité »15.
En 1612, il remplaça à Clichy le curé François Bourgoing qui souhaitait rentrer à l'Oratoire. Âgé de 31 ans, il devient donc le curé de Saint-Sauveur-Saint-Médard à Clichy (maintenant dans les Hauts-de-Seine), où il fait ses débuts en pastorale paroissiale. Il reconstruit l'église qui tombait en ruine avec les deniers du culte, des paroissiens et des notables de 1622 à 1630. Cette église existe toujours16. Le Cardinal de Bérulle le fit nommer curé. Il prit possession de la cure le 2 mai 1612. En 1613, Vincent de Paul entra comme précepteur, dans la maison de Philippe-Emmanuel de Gondi, général des galères de France. Pendant son séjour dans la maison de Gondi, où il devait « faire sa résidence continuelle et actuelle », il pouvait aussi retourner aisément dans sa paroisse, surtout lorsque les Gondi séjournaient à Paris dans leur hôtel de la rue Pavée Saint-Sauveur.
Il devint confesseur de Madame de Gondi qui l'emmena en Picardie où il découvrit la misère des paysans. Vincent de Paul traversait une grave crise spirituelle et morale et vivait dans le désenchantement. En janvier 1617, il fut appelé auprès d’un vieillard mourant dans le village de Gannes qui lui fit une confession publique et générale. Le lendemain, 25 janvier, à la demande de Madame de Gondi, il lança un appel à la confession au cours d'un sermon mémorable dans l'église de Folleville. La réponse massive des villageois à cet appel lui fit brusquement prendre conscience de l'importance de sa mission.
Il se fit ensuite affecter comme curé de campagne dans la paroisse de Châtillon-sur-Chalaronne, dans la Dombes.

Aumônier général des galères en 1619

Aumônier du général des galères Philippe-Emmanuel de Gondi et visitant régulièrement les prisons détenant les criminels condamnés aux galères, le marquis de Belle-Île obtient sa nomination, le 8 février 1619, comme Aumônier général des galères17.

Le fondateur de congrégations

Fresque de Saint Vincent de Paul dans la salle de conférences de la bibliothèque régionale d'Aoste.
Il y fonde, avec les dames aisées de la ville, les Dames de la Charité pour venir en aide aux pauvres. En 1633, il créa la Compagnie des Filles de la Charité. Elles prirent ensuite le nom de « Compagnie des Filles de la Charité de Saint-Vincent de Paul ». Leur nombre se multiplia rapidement. Cet ordre eut à Clichy sa maison mère depuis le début du XVIIe siècle jusqu'aux années 1970. Il quitta la paroisse en 16279.
Grâce au soutien financier de madame de Gondi, il fonda, en 1625 la Congrégation de la Mission. Vouée à l'évangélisation des pauvres des campagnes, la congrégation prendra le nom de Lazaristes (car demeurant dans le quartier Saint-Lazare de Paris, l'enclos Saint-Lazare). De Paul, qui formera de nombreux prêtres, créa un séminaire de la Mission. Les premiers lazaristes furent envoyés à Alger en 1646, à Madagascar en 1648, en Pologne en 1651.
Le 29 novembre 1633, il fonda les Gardes des Pauvres, origine de la congrégation des Compagnie des Filles de la Charité sous la responsabilité de Louise de Marillac parmi lesquelles Marguerite Naseau. Les Filles de la Charité, aussi appelées « Sœurs de Saint Vincent de Paul », étaient vouées au service des malades et au service corporel et spirituel des pauvres ; il en confia la formation à la veuve Le Gras.
En 1635, il envoya des secours aux populations du Duché de Lorraine et du Bar ravagés par les troupes françaises et suédoises.
En 1638, débuta l'œuvre des "Enfants-Trouvés". En 1648 il convoqua une assemblée de dames charitables et prenant la parole il rappela que l'œuvre avait déjà sauvé six cents enfants mais que les ressources manquaient pour poursuivre l’œuvre entreprise. Ses paroles furent pathétiques et convaincantes, puisque le jour même l'Hôpital des Enfants-Trouvés de Paris reçut les capitaux nécessaires pour poursuivre sa tâche.
En 1651, Vincent organisa également des collectes à Paris pour porter secours aux victimes de la guerre en Picardie, Champagne et Île-de-France. Bien que membre de la compagnie du Saint-Sacrement, il prêcha pour la modération à l'égard des protestants.
En 1653, il fonde l'hospice du Saint-Nom-de-Jésus.
Vincent de Paul institua également des retraites spirituelles au cours desquelles se retrouvaient des gens de toutes conditions, le pauvre et le riche, le laquais et le seigneur priaient ensemble et prenaient leurs repas au même réfectoire.

Proche du pouvoir

Vincent Depaul présentant Louise de Marillac et les premières Filles de la Charité à la reine Anne d'Autriche.
Vincent de Paul sut mobiliser au service des pauvres les grandes dames de la noblesse et de la bourgeoisie françaises, parmi lesquelles :
  • Madame de Gondi, épouse du général des galères de France ;
  • La Présidente Goussault, veuve du président de la Cour des Comptes qui fut la première présidente des Dames de Charité.
  • Mademoiselle de Fay qui avait une jambe hydropique ;
  • La Duchesse d'Aiguillon, nièce du Cardinal de Richelieu ;
  • La Reine Anne d'Autriche, veuve de Louis XIII ;
  • La Princesse de Condé, mère du vainqueur de Rocroy, appui financier de Louise de Marillac ;
  • Louise de Gonzague, très mondaine, très assidue à visiter les malades de l'hôtel-Dieu. Devenue reine de Pologne, elle tint absolument avoir des Sœurs de Charité et des Missionnaires ;
  • Madame de Miramion, qui fonda une Maison d'Enfants Trouvés et un Refuge pour filles perdues ;
  • Madame de Polaillon, qui ouvrit un foyer pour jeunes filles en danger moral ;
  • Madame de Lamoignon, épouse du Premier Président du Parlement de Paris, qui recevait les pauvres dans son hôtel particulier.
Louis XIII voulut être assisté par lui dans ses derniers moments et mourir dans ses bras le 14 mai 1643.
Il fut ensuite nommé au « Conseil de Conscience » (Conseil de Régence pour les affaires ecclésiastiques) par la régente Anne d'Autriche dont il était également le confesseur.
Il fonda encore un hospice pour les personnes âgées, qui devint l'hôpital de la Salpêtrière en 1657.

La canonisation

Mort en odeur de sainteté le 27 septembre 1660, il fut inhumé dans l'église Saint-Lazare, qui faisait partie de la maison Saint-Lazare du faubourg Saint-Denis, le 28 septembre 1660, dans un caveau creusé au milieu du chœur de la chapelle18.
Vincent fut béatifié par Benoît XIII le 13 août 172919 et canonisé par Clément XII le 16 juin 173720. Actuellement son corps est exposé dans la chapelle des Lazaristes, 95, rue de Sèvres, à Paris VIe, où ses reliques furent disposées dans une châsse en argent ciselé en 1830 (à l'exception de son cœur conservé dans un reliquaire dans la chapelle de la maison mère des Filles de la Charité)21.
En 1885, le pape Léon XIII l'institua « patron de toutes les œuvres charitables »22.

Le Paris de saint Vincent de Paul

La châsse de saint Vincent de Paul dans la chapelle à Paris
Paris, église Saint-Séverin, Saint Vincent s'occupant des enfants.
Paris, église Saint-Séverin, Saint Vincent recueillant son premier bébé abandonné rue de la Huchette, sur le seuil de l'église Saint-Séverin.
Paris, église Saint-Séverin, Saint Vincent au chevet du roi agonisant.
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Monuments portant le nom de saint Vincent de Paul

  • Statue de Saint Vincent de Paul, derrière l'église
Statue de Saint Vincent de Paul dans les Hauts-de-Seine, derrière l'église à Clichy.
Statue de Saint Vincent de Paul à Châtillon-sur-Chalaronne.
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En France

Église Saint-Vincent-de-Paul
·         
inaugurée en 1965, fête du cinquantenaire le 13 juin 2015
  • à Limoux
    • statue de Saint Vincent de Paul
  • à Saulieu (Cote d'Or)
    • Basilique Saint Andoche : Statue de Saint Vincent de Paul au pied de l'autel latérale droit et tableau le représentant catéchisant des enfants
  • à Beauvais
    • Lycée privé St-Vincent-de-Paul
  • à Loos
    • Institut St-Vincent-De-Paul
  • à Dompierre sur Mer
    • Église St Vincent de Paul
  • à Guntzviller (57)
    • Chapelle Saint Vincent de Paul
  • à Colmar (68)
    • Église Saint-Vincent-de-Paul

Médaille Saint Vincent de Paul (1576-1660). Graveur : Edmond Henri Becker (1871- ? ), recto.

Médaille Saint Vincent de Paul (1576-1660). Graveur : Edmond Henri Becker (1871- ? ), verso.
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Aux États-Unis

en Tunisie

au Brésil

  • à Rio de Janeiro
    • Colégio São Vicente de Paulo
    • Hospital São Vicente de Paulo

au Burkina Faso

Paroisse saint Vincent de Paul, église Saint-Vincent-de-Paul.

au Liban

  • à Beyrouth, Quartier Ashrafieh
École St Vincent de Paul

Pour approfondir

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Bibliographie

Filmographie

Maurice Cloche a réalisé le film Monsieur Vincent en 1947. Le film a obtenu le Grand prix du cinéma français en 1947, l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1949, et la même année, le Prix du meilleur film décerné par la presse cinématographique belge. Le rôle principal y est tenu par Pierre Fresnay, qui a obtenu le prix d´interprétation à la Mostra de Venise en 1947. Les dialogues sont de Jean Anouilh. On y remarque aussi une des premières apparitions à l'écran du jeune Jean Carmet et la première apparition au cinéma de Michel Bouquet.[réf. nécessaire]

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Selon Hœfer (Nouvelle Biographie générale, t. 42, 1866), les signatures authentiques du saint portent le nom « Depaul » écrit en un seul mot. C'est cette orthographe qui est utilisée en Amérique du Nord.
  2. on trouve aussi quelquefois orthographié Vincent de Paule
  3. [1] [archive] Maison Natale de saint Vincent.
  4. Saint Vincent de Paul, 1581-1660, Léon Cristiani. Il serait bien né en 1581, mais l'année 1576 n'avait été avancée que pour coïncider avec les décisions du Concile de Trente qui fixait désormais l'ordination à 27 ans, ou 25 avec dispense, au lieu de 19 ans. Selon Marie-Joëlle Guillaume, les applications des décrets de ce Concile ont été retardées en France jusqu'à la fin du XVIe siècle. Ouvrage : Vincent de Paul, un saint au Grand siècle (Perrin, 2015)
  5. St Vincent de Paul (1576-1660), Emmanuel Broglie
  6. Le Plutarque français : vies des hommes et femmes illustres de la France
  7. a et b Joaquín Carpi Cases, Historia de Tamarite de Litera (desde sus inicios hasta el siglo XX), Ediciones 94 para el Ayuntamiento de Tamarite de Litera, 348 p. (ISBN 978-84-88921-61-1), Nacimiento de Juan I de Castilla Abelly a donné 1576 comme année de naissance, mais tous les biographes sérieux et actuels acceptent la date de 1581, laquelle a été démontrée par Pierre Coste au début du xxe siècle, dans une étude publiée à Dax sur : « La véritable date de naissance de Saint Vincent de Paul
  8. Les recherches du père Bernard Koch publié dans le Bulletin des lazaristes de France numéros de 2001, 2002 et 2003 puis l'ouvrage de Bernard Pujo Vincent de Paul le précurseur, éditions Albin Michel.
  9. a et b Saint Vincent de Paul 1581-1660 Prêtre français, canonisé. Créateur d'Institutions Hospitalières [archive].
  10. Le chemin sacerdotal de Saint Vincent de Paul [archive].
  11. Matthieu Baumier, Saint Vincent de Paul, Pygmalion, 2006, p. 28.
  12. Cette histoire rocambolesque semble avoir été connue en son temps, et aurait inspiré à Cyrano de Bergerac une scène de sa pièce Le Pédant joué, écrite en 1654, scène reprise plus tard par Molière dans Les Fourberies de Scapin avec la célèbre réplique, passée à la postérité : « Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? », que l’on retrouve jusque par exemple dans l'expression triviale actuelle « Quelle galère ! »
  13. Guy Turbet-Delof, « Saint Vincent de Paul a-t-il été esclave à Tunis ? », Revue d'histoire de l'Église de France, vol. 58, no 161,‎ 1972, p. 331-340 (lire en ligne [archive]).
  14. http://www.famvin.org/fr/AchivDocEnleves/Lefebvre-Fil.html [archive]
  15. Jean-Yves Ducourneau, Vincent de Paul : l'amour à l'infini, Mediaspaul Éditions, 2000, p. 45.
  16. Une plaque gravée accrochée au-dessus des fonts baptismaux mentionne : « Dans cette église bâtie par St Vincent de Paul, on vénère un ossement de son bras doit, son crucifix, la chaire où il a baptisé. Dans le jardin du presbytère on voit un arbre qu'il a planté »
  17. René François Rohrbacher, Histoire universelle de l'Église catholique, Gaume Frères et J. Duprey, 1869, p. 206.
  18. ÉPHÉMÉRIDES de la Congrégation de la Mission [archive] (28 septembre).
  19. Saint Vincent de Paul : sa vie, son temps, ses œuvres, son influence, Volume 4 - Michel Ulysse Maynard [archive] (p. 341/403).
  20. Saint Vincent de Paul : sa vie, son temps, ses œuvres, son influence, volume 4 - Michel Ulysse Maynard [archive] (p. 404 et suivantes).
  21. Jean-Yves Ducourneau, Vincent de Paul : l'amour à l'infini, Mediaspaul Editions, 2000 (lire en ligne [archive]), p. 201.
  22. André Dodin, L'esprit vincentien : le secret de saint Vincent de Paul, Desclée De Brouwer, 1981, p. 29.
Dernière modification de cette page le 25 septembre 2016, à 20:58.

 









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