mardi 15 août 2017

il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles - textes du jour . l'Assomption

Mardi 15 Août 2017


19 heures 43 + La messagerie-réception marche avec le domino… mais pas avec la live-box. – Mauritanie... Reçu de cet ancien MAE de Sidi, technique, patriote, intelligent et pour qui j’ai de l’estime [1] la présentation nécessaire pour un éveil français, mais notre analyse est faite : n’importe qui, pourvu que…

Minuit dix-sept + Prière pour les sentimentaux, les affectifs, celles et ceux qui en fin de journée, en début de nuit si la nuit veut dire coucher et sommeil, voudraient, veulent un geste de tendresse, le baiser d’amour d’une mère, d’un père, d’une épouse, d’un époux, d’un frère, d’une sœur, de leur enfant. CHATEAUBRIAND et les pas de son père à Combourg, PROUST et ses premières lignes pour son immense saga, et moi, enfant, quand ma mère ‘avait quitté et que je n’avais pas senti son baiser, et tentais qu’elle revienne, etc… Ce matin,, songeant à la fête, la grande fête de ce jour, l’Assomption, je ne pouvais que découvrir la délicatesse toute filiale, tout humaine mais assortie de la toute-puissance divine, la délicatesse de Jésus envers Sa mère : pas un cadavre, pas une tombe à chercher, à visiter, sur laquelle pleurer et/ou bâtir. Non, la dormition, l’Assomption. La laïcité en France, certes : la tolérance. L’amour fraternel pour les autres croyants, pour toute différence de convictions, de foi, de parcours intime, de comportements-mêmes. Mais constat de ce qu’est et fut la France. Une brève allocution d’un président de notre République, réfléchissant avec nous, l’écoutant et le regardant «  sur le petit écran » (certains aujourd’hui gigantesques…) et qui ferait ressentir que nous venons de si loin, que nous avons été jusqu’ici si cohérents, miraculeusement cohérents malgré gloire, désastres, éparpillements selon l’Histoire, la géographie, et surtout selon les nouveaux arrivants, qui seront toujours les avant-derniers, tant d’histoires individuelles et familiales, celles et ceux qui assument nos siècles et l’actualité du jour, celles et ceux qui nous choisissent comme asile, comme pays d’attraction, migrants, migrés… tous. Parmi ces siècles et moments, le vœu de Louis XIII, notre consécration nationale à la Vierge Marie. Pourquoi le 15-Août alors ? ratifié par Pie XII proclamant le dogme ? Je ne sais. Je dis cela à notre fille tandis que nous roulons vers le village et l’église paroissiale. Ses courses du dimanche matin, l’aube volant comme ces oiseaux blancs anticipant ciel, éternité, mort et passage vers la vie, courses qui seront bientôt un souvenir. Réflexion alors : nos souvenirs sont le plus fort de nos vies, le présent est si vif, précaire, déjà passé. Prière aussitôt, qui est un second constat aussi fort et fervent que le premier… au présent, le cœur et l’instant de notre liberté, le fiat. Pas d’autre choix… que ce choix-là : le consentement et la louange pour ce qui existe le plus souverainement, notre Seigneur et notre Dieu, Sa création, nous… Oui ou non ? A table tout à l’heure, déjeuner, nos passionnants cousins, mon beau-frère, silence de notre fille et de ma fille, quand la « conversation » est venue, « de fil en aiguille » sur les tombes, les inhumations, la crémation, les restes, ce qui aide le deuil de ceux qui restent sur le quai, ma chère cousine, son sourire, je n’y crois pas, je m’en f.. je n’y serai plus, la poussière de ce qui fut elle et qui se jette ou part en… J’ai souvent, ces décennies-ci, moqué intérieurement, ce zèle pour les âmes qui a caractérisé des générations de chrétiens, de candidats pour la sainteté, etc… mais tout à l’heure, je vivais : comment amener à la foi, à bien plus qu’au bonheur, à la complète compréhension de notre existence humaine, terrestre, finie et toujours en demande, la plus forte étant l’implicite, voire celle qui est niée. La table, nous, ce qu’Edith avait préparée, la lumière pas forte mais certaine de cet été, ce que nous buvions quoique ma cousine guerroie systématiquement mon cher cousin, « mon » précieux Jean-François, pas d’alcool. Pas de viande non plus. Du bio, pas grossir. Récit de vie et de frustration, quatre-vingt ans de réalité de mystère, notre chère Arlette. Lui, de sept enfants, l’église de tout temps, mais son propre chemin agnostique et paisible, sa adonnée à la recherche scientifique, la psychologie cognitive qu’il a en partie fondée avec ses applications mathématiques et son travail actuel : l’explication et le cheminement de l’erreur d’un ou d’une élève de CM2 en mathématiques. Je voudrais qu’il dise son parcours, depuis la garde des troupeaux familiaux à ses douze ans, dans la Loire (Rive-de-Gier et envions) jusqu’à Normale-Sup., l’agrégation, les laboratoires, Vincennes et les Katangais, Moscou quelques fois. Il veut ne répondre ou ne rédiger que son parcours et sa recherche aboutis. Sa passion, sa curiosité de toujours : l’explication et la compréhension. Comprendre un comportement selon les données objectives faisant que tel ou tel se comporte ainsi. Le comprendre soi, lui, le chercheur, mais alors l’expliquer et le faire comprendre à qui se comporte ainsi. Application, l’erreur de l’enfant face au problème posé par sa maîtresse. Mais évidemment la démarche valant en tout. Deux pages, Jean-François, il sourit. Je pense alors et m’exécute maintenant : lui proposer des rédactions et le faire ainsi réagir. L’autre jour, son aveu tranquille tandis qu’il continue de faire calculer son ordinateur, je ne sais pas écrire d’imagination. Il sait parfaitement qu’écrire, c’est transposer. Il sait écrire le résultat et le cheminement du résultat d’une recherche. Mais le récit de sa vie, la science dans sa vie, le couple avec sa femme, les atrocités et désespérances, les orgueils intimes de celle-ci, il peut m’en parler, il ne l’écrira pas. Il a eu envie de marcher, nous sommes partis à travers le pré le plus proche, avons fait le tour de nos maisons, arrêt devant les hortensias survivant aux ronces et il a voulu voir les chèvres. La journée a ainsi passé. Aussi dense et belle que celle de dimanche à Hoedic. Je ne sais transmettre immédiatement mes émotions et constructions, mes émerveillements à ma chère femme. J’ai eu en supplément comme à chaque échange avec ma chère cousine, de nouveaux éléments de nos éphémérides familiaux. Cet après-midi, cette nuit, le vrai problème de la communication quand elle vise la communion. 

La messe de ce matin, les textes, l’Apocalypse, les dernières célébrations de notre recteur, que j’aime, quoiqu’il n’ait jamais baissé la garde. Protection, timidité ? « monachisme intérieur », je ne le saurai qu’autrement et donc en aucun termes humains de maintenant. Les textes écoutés : sur la tête une couronne de douze étoiles. Le vœu de Louis XIII faisant notre histoire nationale, SCHUMAN entrainant ADENAUER et DE GASPERI, au chevet sud de la cathédrale de Strasbourg, la Vierge couronnée d’étoiles, le drapeau alors du Conseil de l’Europe, le drapeau de notre Union ou de notre Communauté (terme originel que je préfère de beaucoup, de même que pour notre avenir, celui que forcément nous sommes forcés de commencer une seconde fois, ces années-ci…je préfère une Loi fondamentale selon la formule allemande, sinon même : fondatrice, aux termes existants de traité ou de constitution, ce qui fuit peur en 2005). Un grand signe apparut dans le ciel : une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds et sur la tête une couronne de douze étoiles [2]… Je comprends alors ce dénouement : l’enfant fut enlevé jusqu’auprès de Dieu et de son Trône, et la Femme s’enfuit au désert, où Dieu lui a préparé une place. Ce n’est pas la fuite d’Agar confiant à la Providence Ismaël, premier né d’Abraham, mais censément illégitime, c’est le silence de Marie après qu’elle eût parlé, selon Luc, trois fois, réponse à l’Ange, réponse à sa cousine Elisabeth, réponse aux serviteurs du banquet nuptial à Cana. C’est sur cette dernière qu’elle nous laisse, c’est par cette recommandation qu’elle entreprend un silence qu’elle ne rompt depuis deux mille ans qu’en apparitions dont il semble que la chrétienté n’a mémoire que depuis peu de siècles : faites tout ce qu’il vous dira… et maintenant : priez. Fécondité du désert, selon l’Apocalypse. Le Dragon et la mort, le péché au sens où l’homme, où nous ne disons pas le fiat de Marie. Voici le pouvoir de son Christ ! … c’est dans le Christ, que tous recevront la vie… et le dernier ennemi qui sera anéanti, c’est la mort car il a tout mis sous ses pieds. La conclusion du fiat, la vie consciente, la totalité de la fécondité mariale, de la louange exultante et intime à l’univers pris dans l’action de grâce, dans l’Histoire… notre amie, Marie-Odile, son texto SMS qui hors contexte liturgique surprend et qu’Edith me lit, son exultation en cette « fête », elle seule avec l’une de ses filles, sans homme, en recherche permanente d’un débouché pour son art (Michael LONSDALE dont nous parlons à table, puisque ce à quoi j’assistais il y a quatre ou cinq ans à Kergonan, nos cousins l’ont vécu hier soir dans l’ancienne abbaye de Saint-Gildas-de-Rhuys… et Marie-Odile a « fait de la photo. » pour lui), son aînée perdue et son mari à qui elle donna papiers puis nationalité avant qu’il soit converti au « radicalisme » musulman par l’attentat du 11-Septembre qui en fit démoniaquement exulter tellement, la fécondité de la haine ? ou les conséquences des frustrations que l’Amérique, que l’Occident, qu’une partie de l’Europe ont suscitées ailleurs. La Chine et Daech, les voisins de l’Histoire contemporaine, la revanche, quoique les formes en soient si différentes, mais l’effet et le défi pour nous, en Europe et en France, sont un seul verdict.

Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. Marie dit alors … Texte que si souvent notre recteur me donne en pénitence, comme sans doute à beaucoup, s’il y a beaucoup dans notre paroisse qui se confessent… mes cousins en visite chez les parents de lui, la messe dominicale, et quand c’était Pâques, ils étaient expédiés « à confesse »… ils y allaient mais pour se promener le temps de pouvoir dire au retour, à la table de ferme et de famille, nous y fûmes… Mon âme exalte le Seigneur,, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante… constat intime mais proclamé, et puis conscience de l’événement historique décisif que visitée par l’Ange, elle a vécu et que son acquiescement a déterminé… désormais tous les âges me diront bienheureuse. Les textes qui, chaque jour davantage, et cette nuit aussi, me structurent, me portent, me consolent et m’emporteront, je ne sais quand mais, à présent, dans moins de temps que je n’en ai déjà vécu. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël son serviteur, nous tous, il se souvient de son amour (Beatrix de BALZAC qui « se passe » non loin de chez nous, Guérande et Le Croisic : le roi s’est souvenu… la Restauration, époque également française), de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais.
 
Politique si simple. Je ne dis même plus que j’avais raison, dans mon instinct, au sujet de qui allait régner. On a pire que les deux précédents, la tournée européenne promise en Avril… un procès contre un photographe des images de vacances, le couple présidentiel… les coups de g… en conseil des ministres… les éphémérides et déjà, intense, l’impopularité selon les sondages quoiqu’en conversation que je peux provoquer (mais je ne le fais plus puisque je m’éloigne pour mieux voir et pour durer) ou qui me revient, cette impopularité n’est pas sensible. L’erreur énième des médias, faire de la rentrée « sociale » face au texte des ordonnances récrivant le Code du travail (pourquoi pas un Code du capital ? et à quand la vraie considération du travail qui est le mouvement et le lieu de la dignité humaine, est-ce que je vaux quelque chose, vraiment ? la rémunération, nécessaire évidemment, comme le furent la chasse et la cueillette aux aubes de nos races, est seconde, éthique et psychologie sont premières), faire du prochain mois le « test » du quinquennat… Non, ce va être beaucoup plus filandreux, et l’Histoire jugera sur tout autre chose, sur les lacunes : qu’avez-vous fait de l’Europe ? pour l’Europe ? et la démocratie, l’avez-vous fondée de nouveau dans nos esprits et dans la pratique de nos institutions. Dépêches du Huffington Post dont l’une renvoie (le JDD du 9 Avril dernier) à l’autoportrait du prince vingt jours avant le premier tour, qui dans nos élections tant que va persister le Front national en dépit de la médiocrité de qui le préside, est désormais l’unique tour… La Chine comprend le jeu international, elle ne gagne et s’étend que si rien ne s’y oppose. Pour la Corée du nord, malgré la médiocrité (la médiocrité des extrêmes, de nos jours, en politique, alors que dans les années 30…) la médiocrité de TRUMP mais dont le mandat n’est pas écrit d’avance, la Chine fait en sorte qu’elle est bonne élève.

Communion, évangélisation, propagation, organisation des vies et sociétés humaines : d’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? (la grossesse d’Elisabeth est annoncée à Marie en même temps que son propre sort, et la Vierge croit autant aux paroles la concernant personnellement et universellement, ce dont elle a eu aussitôt la révélation, qu’à ce qu’elle apprend de sa cousine : elle part aussitôt chez celle-ci). Discernement d’Elisabeth, censée ne rien savoir quand la jeune fille entre chez elle, comme Gabriel est entrée chez cette dernière. Car lorsque tes paroles de salutations sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. Et Marie, comme à l’Ange, acquiesce à sa cousine. Le Puisant fit pour moi des merveilles ! Magnificat ! Saint est son nom ! Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. La prière est communion et mémoire, elle est joie et humilité, elle bâtit ma vie et va bénir mon sommeil, elle bâtit nos vies. Marguerite chez Josépha, mes cousins rentrés chez eux, nos chiens répartis entre leurs couches respectives et la femme qui m’est donnée et maintenue, sans laquelle je… ici-bas… sera dans un instant à ma droite, déjà dans notre lit. La nuit est noire, simple accueil, vrai silence.
Deux heures quinze + Dieu parla à Abraham par beau temps, puisque la nuit d'alors était si étoilée. Celle qui m'est donnée maintenant est sans lumière, la présence est encore plus intense : ce mutisme quand tout a été dit, est un sourire, le sourire.


[1] - Le 15/08/2017 à 16:42, Mohamed S... a écrit :
Ce qui devrait à mon sens interpeller la France de manière particulière c’est la campagne engagée par Ould Abdelaziz  depuis quelques années et visant clairement à développer au sein du peuple mauritanien un sentiment anti-français et ce en en faisant de la soi-disant Résistance au colonialisme un thème majeur du débat politique. Tout est mis à contribution pour inculquer dans l’Opinion publique l’idée que le colonialisme français a suscité une  Résistance farouche  et  que les Forces coloniales avaient été impitoyables dans leur conquête.
Des lauriers sont tressés pour des individus  connus plutôt pour des actes de banditisme et qui, à ce titre uniquement, ont eu maille à partir avec l’Administration. Leurs noms sont attribués à des rues et des émissions à leur gloire sont diffusées par les Medias publics.
Le nom d’une Localité où un accrochage aux mobiles controversés mais au cours duquel des militaires français, dont le Lieutenant Mac Mahon (Petit-fils du Marechal), ont trouvé la mort, est donné au nouvel Aéroport de Nouakchott.
La mémoire des personnalités religieuses les plus prestigieuses de l’Histoire de la Mauritanie est bafouée tous les jours par Ould Abdelaziz  et ses partisans au motif qu’elles auraient été favorables à la colonisation. Des bandes rouges seront ajoutées au drapeau national en hommage au « sang versé contre le colonialisme ».
En outre Ould Abdelaziz ne rate jamais une occasion pour dire publiquement qu’il n’en a cure de la France et  accuser l’Opposition démocratique de chercher son appui. Comme s’il s’agissait d’un crime ! Crime qui a été pourtant décisif dans l’acceptation de son coup d’état d’aout 2008.
Ses thuriféraires ont largement repris récemment cette photo où on le voit à Bamako avec le Président français tenant un parapluie le protégeant (protégeant Ould Abdelaziz) de la pluie ou du soleil. Preuve, selon eux, des égards que lui manifeste M. Macron et, à travers lui, la France.
En toile de fond  les Forces religieuses les plus conservatrices jouissent de  toute latitude pour mener leur propagande rétrograde et activités caritatives. Pour gagner davantage leur sympathie, Ould Abdelaziz a mis en place une « Radio Coran » qui ne diffuse que des émissions religieuses et fait imprimer un « Coran » (le premier « Coran » mauritanien selon lui comme si le Coran pouvait être estampillé « Mauritanien » ou « Malaisien »).
En même temps il  développe les cursus  et les Institutions d’enseignement religieux.
Le tout sur fond, d’un côté, d’inégalités sociales de plus en plus criantes et d’enrichissement sans vergogne et sans scrupules (lui-même, sa Famille et sa parentèle). Et, de l’autre, d’absence de toute perspective politique avec un Chef d’Etat qui s’enorgueillit d’avoir fait deux coups d’état, dont l’un contre le seul Président démocratiquement élu de l’Histoire du pays, et dit qu’il n’y rien qui l’empêche de faire ce qu’il veut des Institutions. Et, joignant  la parole à l’action, il vient d’organiser un referendum  anticonstitutionnel après le rejet par le Senat du projet de révision constitutionnelle.
Donc, et pour résumer, nous avons une campagne acharnée visant à ancrer dans les esprits l’hostilité à l’ancienne Puissance coloniale (sans laquelle, au demeurant, il n’y aurait sans doute pas eu d’Etat mauritanien indépendant), une « Islamisation » de la Société véhiculée par des courants de pensée radicaux très éloignés de l’Islam tolérant prévalant depuis des Siècles, une paupérisation croissante et une impasse politique totale.
Ce sont là des ingrédients graves qui menacent la sécurité et la stabilité du pays et visent directement la France. Car  parmi les milliers de jeunes fanatisés et désœuvrés, le risque est réel de voir des candidats à la « vengeance des martyrs de la Résistance : »
Je ne peux pas m’imaginer que ces éléments factuels échappent  aux analystes  français. Ils doivent nécessairement susciter, au moins, des échanges francs entre les Autorités des deux pays.

[2] - Apocalypse de saint Jean XI 19 et XII 1 à 10 passim ; psaumeXLV ; 1ère lettre de Paul aux Corinthiens XV 20 à 27 ; évangile selon saint Luc I 39 à 56

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