lundi 14 août 2017

saint Maximilien-Marie Kolbe - martyr




prêtre o.f.m. conv. et martyr
fondateur de la : « Mission de l'Immaculée »
1894 + 1941
Maximilien Kolbe (de son prénom de baptême: Rajmund) naît le 8 janvier 1894 à Zdunska Wola, pas très loin de Lodz, en Pologne. Il était le fils de Jules et Marie Dabrowska.

Adolescent, il se sentit fasciné par l'idéal de saint François d'Assise et entra au petit séminaire des Franciscains conventuels (dits Cordeliers) de Léopoli.
Après le noviciat, il fut envoyé à Rome, au Collège International de l'ordre, pour y faire ses études ecclésiastiques. En 1915, il fut diplômé en philosophie puis, en 1919, en théologie.
Alors que l'Europe est déchirée par la Première Guerre Mondiale, Maximilien songe à une grande œuvre au service de l'Immaculée pour l'avènement du Royaume du Christ.
Le soir du 16 octobre 1917, il fonde avec quelques compagnons la « Mission de l'Immaculée », qui a pour but la conversion et la sanctification de tous les hommes par l'offrande inconditionnelle à la Vierge Marie.
Il est ordonné prêtre en 1918 et, en 1919, une fois ses études ecclésiastiques terminées, il rentre en Pologne pour commencer à Cracovie un travail d'organisation et d'animation du mouvement de la « Mission de l'Immaculée ».
Comme moyen de liaison entre les adhérents du mouvement, il fonde la revue « Le Chevalier de l'Immaculée ».
En 1927, encouragé par la progression importante du nombre de collaborateurs consacrés et de membres de la M.I., il transfère le centre d'édition à Niepokalanow, ou « Cité de l'Immaculée », près de Varsovie, qui accueillera plus de 700 religieux. Ceux-ci se consacreront à évangéliser le monde grâce à l’utilisation des moyens de communication sociale.
En 1930, il part avec quatre autres frères pour le Japon, où il fonde « Mugenzai No Sono », ou « Jardin de l'Immaculée », dans la banlieue de Nagasaki et y imprime une revue mariale. Cette « cité » restera intacte après l'explosion, en 1945, de la bombe atomique sur Nagasaki.
En 1936, il rentre en Pologne, appelé par la croissance de la communauté religieuse et l'expansion de l'activité éditoriale : onze publications, parmi lesquelles un quotidien de grande audience dans les classes populaires : il tire à 228.560 exemplaires, et le « Le Chevalier de l'Immaculée » à un million d'exemplaires.
Le 1er septembre 1939, la Seconde Guerre Mondiale éclate. Niepokalanow est bombardée et saccagée. Les religieux doivent l’abandonner. Les bâtiments sont utilisés comme lieu de premier accueil pour les réfugiés et les militaires
Le 17 février 1941, le Père Kolbe est arrêté par la Gestapo et incarcéré dans la prison Pawiak de Varsovie. Le 28 mai de la même année, il est déporté au camp d’extermination d’Auschwitz, où on lui assigna le numéro 16670.
Fin juillet, un prisonnier s'échappa. En guise de représailles, le commandant Fritsch décide de choisir dix compagnons du même bloc et les condamne injustement à mourir de faim et de soif dans le « souterrain de la mort ».
À la stupeur de tous les prisonniers et des nazis eux-mêmes, le père Maximilien sort des rangs et s'offre pour remplacer l'un des condamnés, le jeune sergent polonais François Gajowniczek. De cette manière inattendue et héroïque, le Père Maximilien descend avec les neuf autres prisonniers dans le « souterrain de la mort » où, les uns après les autres, les prisonniers meurent, consolés, assistés et bénis par un saint.
Le 14 août 1941, le Père Kolbe quitte sa demeure terrestre, pour la rencontre avec Dieu, suite à une injection d’acide phénique. Le jour suivant, son corps fut brûlé dans le four crématoire et ses cendres dispersées au vent.
Maximilien-Marie Kolbe a été élevé à la gloire des autels, le 17 octobre 1971, par le bienheureux Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) et canonisé, le 10 octobre 1982, par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).
Pour un approfondissement biographique :
>>> Biographie 


Source principale : kolbemission.org ; missel.free.fr (« Rév. x gpm »).  


Daignez recevoir ma louange, ô Vierge bénie ! Immaculée Conception, Reine du ciel et de la terre, Refuge des pécheurs et Mère très-aimante, à qui Dieu a voulu confier tout l'ordre de la miséricorde, me voici à vos pieds, moi, pauvre pécheur. Je vous en supplie, acceptez mon être tout entier comme votre bien et votre propriété. Agissez en moi selon votre volonté, en mon âme et mon corps, en ma vie et ma mort et mon éternité. Disposez avant tout de moi comme vous le désirez, pour que se réalise enfin ce qui est dit de vous : La Femme écrasera la tête du serpent et aussi : Vous seule vaincrez les hérésies dans le monde entier. Qu'en vos mains immaculées, si riches de miséricorde, je devienne un instrument de votre amour, capable de ranimer et d'épanouir pleinement tant d'âmes tièdes ou égarées. Ainsi s'étendra sans fin le règne du Cœur divin de Jésus. Vraiment, votre seule présence attire les grâces qui convertissent et sanctifient les âmes, puisque la grâce jaillit du Cœur divin de Jésus sur nous tous, en passant par vos mains maternelles.





SAN MASSIMILIANO MARIA KOLBE SACERDOTE E MARTIRE / W


wikipédia – en ligne lundi 13 juin 2016

Maximilien Kolbe

image illustrant la Pologne
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Maximilien Kolbe
(Maksymilian Maria Kolbe)
Image illustrative de l'article Maximilien Kolbe
Naissance
Décès
Nationalité
Ordre religieux
Vénéré par
Fête
Saint patron
du XX° siècle, des radioamateurs, journalistes et prisonniers politiques
Rajmund Kolbe, en religion Maximilien Marie Kolbe, né le 7 janvier 1894 à Zduńska Wola en Pologne et mort par injection de phénol au camp de concentration d'Auschwitz le 14 août 1941, est un frère franciscain conventuel polonais, qui s'est offert de mourir à la place d'un père de famille dans le camp de concentration nazi à Auschwitz I.
Canonisé le 10 octobre 1982 par Jean-Paul II, il est vénéré dans l'Église catholique sous le nom de « Saint Maximilien Kolbe » et liturgiquement commémoré le 14 août.

Sommaire

Biographie

Maximilien Kolbe naît en 1894 en Pologne. Ses deux parents, Jules et Marianna Kolbe, sont tous les deux tisserands et tertiaires franciscains. Agacée par le caractère turbulent de son second fils, sa mère lui aurait demandé un jour ce qu'il deviendra plus tard1. Profondément interpellé par cette question, Maximilien se serait alors adressé directement à la Vierge Marie. C'est alors qu'il aurait eu une vision de la Vierge de Częstochowa qui, en guise de réponse, lui proposa deux couronnes : une blanche pour la pureté et une rouge pour le martyr. Elle lui demanda de choisir et il accepta les deux et s'engagea chaque jour à devenir meilleur. Alors qu'étudiant, il se pose la question du sacerdoce, il voit des franciscains passer dans sa ville. Il les suit et devient prêtre franciscain conventuel. Entré au noviciat des Franciscains conventuels en 1907, il prononce ses vœux définitifs à la Toussaint 1914. Il est alors envoyé à Rome pour son noviciat et est ordonné prêtre le 28 avril 19182.
En 1917, à Rome, il fonde la Mission de l'Immaculée : spiritualité fondée sur le don total à l'Immaculée pour devenir un instrument entre ses mains. Sur la même lancée, il crée en janvier 1922 le journal Le Chevalier de l'Immaculée. En août 1927, il fonde Niepokalanow, « la cité de l'Immaculée », près de Varsovie où ils seront jusqu'à près de 800 religieux. Il y met en place une maison d'édition et une station de radio (il était lui-même radioamateur sous l'indicatif SP3RN), toutes deux destinées à promouvoir la vénération de la Vierge-Marie tout particulièrement dans le mystère de l'Immaculée Conception. En 1930, il vit le même apostolat au Japon avec quatre frères, où il fonde une autre Cité de Marie3. Deux ans plus tard, il partira aux Indes avec la même mission mais un moindre succès1. Il revient en Pologne en 1935 et imprime un quotidien catholique. En 1939, sa fraternité fournit l'abri à des réfugiés polonais, catholiques ou juifs. Il est arrêté une première fois et battu, avant d'être libéré3.

Sa mort

Le 17 février 1941, il est arrêté par la Gestapo et violemment battu car il refuse de renier Jésus-Christ[réf. à confirmer]1, puis transféré le 28 mai vers le camp d'Auschwitz, sous le matricule 16670. En juillet 1941, un homme disparaît dans le bloc 14, où se trouve le père Kolbe. En représailles Les nazis sélectionnent dix hommes de la même baraque qui, enfermés, sont condamnés à mourir de faim.
Maximilien Kolbe se porte volontaire pour remplacer l'un des dix prisonniers, Franciszek Gajowniczek, un père de famille. Les nazis consentent à la substitution ; les dix prisonniers sont enfermés dans un bunker souterrain du camp à peine éclairé par des ouvertures étroites. Bien que la faim et la soif poussent les condamnés à la folie de s'entretuer après quelques jours seulement, le prêtre Maximilien réussit à faire régner le calme et la piété entre ses compagnons de cette tragédie au moyen de prières et d'oraisons. Après deux semaines sans nourriture4, seul le père Kolbe qui a soutenu et vu mourir tous ses compagnons, est encore en vie. La place venant à manquer, il est exécuté le 14 août d'une injection de phénol dans le bras5. Son corps est brûlé dans un four crématoire le 15 août.

Souvenir et vénération

Maximilien Kolbe a été béatifié comme confesseur en 1971. Le 10 octobre 1982, il a été canonisé comme martyr par le pape Jean-Paul II. Il est le seul à avoir été honoré d'abord comme confesseur, puis comme martyr. Deux miracles attribués à l'intercession de Maximilien Kolbe ont permis sa canonisation : la guérison d'Angela Testoni, atteinte de tuberculose, en juillet 1948, et celle de Francis Ranier, atteint de calcification artérielle, en août 19506. Ayant survécu à la captivité, Franciszek Gajowniczek assistera à la canonisation de son sauveteur en 1982. Le Pape, saint Jean-Paul II, en fit un modèle pour la société d'aujourd'hui et la nouvelle évangélisation et retient notamment de Maximilien Kolbe l'importance de le consécration à la Trinité par la Vierge Marie et de l'annonce de l'Évangile par les médias1.
En juillet 1998, l'Église d'Angleterre a inauguré une statue de Maximilien Marie Kolbe en surplomb du portail occidental de l'abbaye de Westminster, à Londres, en tant qu'élément du monument à la mémoire de dix martyrs du XXe siècle.
La chapelle du Foyer de Charité de Tressaint (Bretagne, Côtes-d'Armor) est dédiée à St Maximilien par dévotion du Père animateur de ce foyer qui la fit construire.
L'église Saint Pierre de Corps-Nuds, au sud de Rennes (Bretagne, Ille et Vilaine), est consacrée à Saint Maximilien Kolbe. On peut y voir un portrait et une petite statue de Saint Maximilien Kolbe.
Dans l'église Notre-Dame de Saint-Lô (Basse-Normandie, département de la Manche) se trouve un vitrail de Jean-Paul Froidevaux : « Les Saints de notre temps » (1974). On peut y voir sainte Thérèse de Lisieux, Saint Jean XXIII, Charles de Foucauld et Saint Maximilien Kolbe.
Une statue intitulée "Hommage au Père Kolbe" réalisée par Jean-Paul Emonds-Alt grâce au legs Julien Lambert se trouve au Parvis Saint-François à Louvain-la-Neuve (Belgique).

Articles connexes

Bibliographie

Notes et références

  1. a, b, c et d Saint Maximilien Kolbe (1894-1941) : le don suprême [archive]
  2. http://www.immaculee.org/page.php?id=43 [archive]
  3. a et b http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1669/Saint-Maximilien-Kolbe.html [archive]
  4. Patricia Treece, Maximilien Kolbe, éditions Flammarion, 2003, page 278.
  5. http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_19821010_massimiliano_kolbe_it.html [archive]
  6. http://www.stthomasmoreschool.org.uk/kolbe [archive]
v · m
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wikipédia à jour au 10 août 2017

Maximilien Kolbe

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Maximilien Kolbe
(Maksymilian Maria Kolbe)
Image illustrative de l'article Maximilien Kolbe
Naissance
Décès
Nom de naissance
Rajmund Kolbe
Autres noms
Maksymilian Maria Kolbe
Nationalité
Ordre religieux
Vénéré par
Fête
Saint patron
du XXe siècle, des radioamateurs, journalistes et prisonniers politiques
Rajmund Kolbe, en français Maximilien Marie Kolbe, né le 7 janvier 1894 à Zduńska Wola en Pologne et mort par injection de phénol au camp de concentration d'Auschwitz le 14 août 1941, est un frère franciscain conventuel polonais, qui s'est offert de mourir à la place d'un père de famille, Franciszek Gajowniczek, dans le camp de concentration nazi à Auschwitz I.
Canonisé le 10 octobre 1982 par Jean-Paul II, il est vénéré dans l'Église catholique sous le nom de « saint Maximilien Kolbe » et liturgiquement commémoré le 14 août.

Sommaire

Biographie

Jeunesse

Maximilien Kolbe naît en 1894 en Pologne. Ses deux parents, Julius Kolbe et Maria Dąbrowska, sont tous les deux tisserands et tertiaires franciscains. Agacée par le caractère turbulent de son second fils, sa mère lui aurait demandé un jour ce qu'il deviendra plus tard1. Profondément interpellé par cette question, Maximilien se serait alors adressé directement à la Vierge Marie. C'est alors qu'il aurait eu une vision de la Vierge de Częstochowa qui, en guise de réponse, lui proposa deux couronnes : une blanche pour la pureté et une rouge pour le martyre. Elle lui demanda de choisir et il accepta les deux et s'engagea chaque jour à devenir meilleur. Alors qu'étudiant, il se pose la question du sacerdoce, il voit des franciscains passer dans sa ville. Il les suit et devient prêtre franciscain conventuel. Entré au noviciat des Franciscains conventuels en 1907, il prononce ses vœux définitifs à la Toussaint 1914. Il est alors envoyé à Rome pour son noviciat et est ordonné prêtre le 28 avril 19182.

Sacerdoce

En 1917, à Rome, il fonde la Mission de l'Immaculée : spiritualité fondée sur le don total à l'Immaculée conception pour devenir un instrument entre ses mains3. Sur la même lancée, il crée en janvier 1922 le journal Le Chevalier de l'Immaculée. En août 1927, il fonde Niepokalanow, « la cité de l'Immaculée », près de Varsovie où ils seront jusqu'à près de 800 religieux. Il y met en place une maison d'édition et une station de radio (il était lui-même radioamateur sous l'indicatif SP3RN), toutes deux destinées à promouvoir la vénération de la Vierge-Marie tout particulièrement dans le mystère de l'Immaculée Conception.
En 1930, il vit le même apostolat au Japon avec quatre frères, où, en 1931, il fonde une autre Cité de Marie près de Nagasaki4. Le couvent construit sur une colline, le dos tourné à la ville, à l'étonnement de tous, sera le seul bâtiment resté debout lors de l'explosion de la bombe atomique en 19455.
Deux ans plus tard, il part aux Indes britanniques avec la même mission mais un moindre succès1. Il revient en Pologne en 1935 et imprime un quotidien catholique.
Le père Kolbe priait souvent, des prières courtes, devant le Saint-Sacrement, pour confier les intentions de nos lecteurs et donateurs. L’intensité de son recueillement nous impressionnait. Homme parmi les hommes, il était gai, aimait raconter des blagues, faire rire les malades à l’infirmerie pour les détendre.6
En 1939, sa fraternité fournit l'abri à des réfugiés polonais, catholiques ou juifs. Il est arrêté une première fois et battu, avant d'être libéré4,3.

À Auschwitz

Le 17 février 1941, il est arrêté par la Gestapo et violemment battu car il refuse de renier Jésus-Christ[réf. à confirmer]1, puis transféré le 28 mai vers le camp d'Auschwitz, sous le matricule 16670. En juillet 1941, un homme disparaît dans le bloc 14, où se trouve le père Kolbe. En représailles les nazis sélectionnent dix hommes de la même baraque qui, enfermés, sont condamnés à mourir de faim.
Maximilien Kolbe se porte volontaire pour remplacer l'un des dix prisonniers, Franciszek Gajowniczek, père de famille3. Les nazis consentent à la substitution ; les dix prisonniers sont enfermés dans un bunker souterrain du camp à peine éclairé par des ouvertures étroites. Bien que la faim et la soif poussent les condamnés à la folie de s’entre-tuer après quelques jours seulement, le prêtre Maximilien réussit à faire régner le calme et la piété entre ses compagnons de cette tragédie au moyen de prières et d'oraisons. Après deux semaines sans nourriture7, seul le père Kolbe qui a soutenu et vu mourir tous ses compagnons, est encore en vie. La place venant à manquer, il est exécuté le 14 août d'une injection de phénol dans le bras8. Son corps est brûlé dans un four crématoire le 15 août.

Souvenir et vénération

Vitrail: Alois Plum représentant: Edith Stein et Maximilian Kolbe
Maximilien Kolbe a été béatifié comme confesseur en 1971. Le 10 octobre 1982, il a été canonisé comme martyr par le pape Jean-Paul II. Il est le seul à avoir été honoré d'abord comme confesseur, puis comme martyr. Deux miracles attribués à l'intercession de Maximilien Kolbe ont permis sa canonisation : la guérison d'Angela Testoni, atteinte de tuberculose, en juillet 1948, et celle de Francis Ranier, atteint de calcification artérielle, en août 19509. Ayant survécu à la captivité, Franciszek Gajowniczek assistera à la canonisation de son sauveteur en 1982. Le pape, Jean-Paul II, en fit un modèle pour la société d'aujourd'hui et la nouvelle évangélisation et retient notamment de Maximilien Kolbe l'importance de le consécration à la Trinité par la Vierge Marie et de l'annonce de l'Évangile par les médias1.
En juillet 1998, l'Église d'Angleterre a inauguré une statue de Maximilien Marie Kolbe en surplomb du portail occidental de l'abbaye de Westminster, à Londres, en tant qu'élément du monument à la mémoire de dix martyrs du XXe siècle.
La chapelle du Foyer de Charité de Tressaint (Bretagne, Côtes-d'Armor) est dédiée à saint Maximilien par dévotion du Père animateur de ce foyer qui la fit construire.
L'église Saint-Pierre de Corps-Nuds, au sud de Rennes (Bretagne, Ille-et-Vilaine), est devenue l’église Saint-Maximilien-Kolbe. On peut y voir un portrait et une petite statue de saint Maximilien Kolbe.
Dans l'église Notre-Dame de Saint-Lô (Basse-Normandie, département de la Manche) se trouve un vitrail de Jean-Paul Froidevaux : « Les Saints de notre temps » (1974). On peut y voir sainte Thérèse de Lisieux, Saint Jean XXIII, Charles de Foucauld et saint Maximilien Kolbe.
Une statue intitulée "Hommage au Père Kolbe" réalisée par Jean-Paul Emonds-Alt grâce au legs Julien Lambert se trouve au Parvis Saint-François à Louvain-la-Neuve (Belgique).

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

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Notes et références

  1. a, b, c et d Jacques Gauthier, « Saint Maximilien Kolbe (1894-1941) : le don suprême », Alteia,‎ 14 août 2015 (lire en ligne [archive]).
  2. « Qui est saint Maximilien KOLBE ? » [archive], sur Mission de l'Immaculée, immaculee.org (consulté le 14 janvier 2017).
  3. a, b et c « Saint Maximilien Kolbe », Magnificat, no 237,‎ août 2012, p. 192.
  4. a et b « Saint Maximilien Kolbe » [archive], sur Nominis, nominis.cef.fr (consulté le 14 janvier 2017).
  5. http://www.paris.catholique.fr/saint-maximilien-kolbe.html [archive]
  6. Cité dans Lourdes magazine de juillet 2001 http://www.paris.catholique.fr/saint-maximilien-kolbe.html [archive].
  7. Patricia Treece, Maximilien Kolbe, éditions Flammarion, 2003, page 278.
  8. (it) « Massimiliano Maria Kolbe (1894-1941), presbitero, martire, O.F.M. Conv. » [archive], sur Vatican, vatican.va (consulté le 14 janvier 2017).
  9. http://www.stthomasmoreschool.org.uk/kolbe [archive]
Cette page a été modifiée pour la dernière fois le 10 août 2017 à 18:01.

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